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Première Mondiale : le plus gros désemboueur

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Première mondiale

Ingénio, fabricant français et leader en désemboueurs écologiques basé dans le Gard, livre le plus gros désemboueur-clarificateur ABC PROTECT© jamais construit en diamètre 500 mm à EQUANS pour équiper les réseaux de chaleur et d’eau glacée de la nouvelle zone Cambacérès (phase 1) de Montpellier.

La technologie innovante et révolutionnaire développée par ingénio depuis 1999 permet de traiter l’embouage, la corrosion et l’entartrage sans produits de conditionnement d’eau, de réduire les coûts d’exploitation, d’optimiser les rendements énergétiques et de  pérenniser tous les équipements des installations thermiques (de la production aux émetteurs terminaux).

Les désemboueurs à vortex ABC PROTECT© agissent en préventif et en curatif comme de véritables régulateurs naturels pour clarifier et traiter l’eau en permanence quelle que soit le débit, les différentiels de température et la longueur des réseaux hydrauliques.

Ils s’inscrivent totalement dans une démarche environnementale respectueuse de l’eau et de l’environnement grâce  à la réduction des rejets en CO² générée par la diminution des consommations en énergie (gaz, fuel, électricité, bois).

Après l’Assemblée Nationale et le Parlement Européen, ingénio continue sa progression et son statut de leader sur le marché des désemboueurs écologiques.

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La zone Cambacérès se veut une zone multi-activités de 60 hectares qui accueillera :

  • La nouvelle gare TGV
  • le lycée Pierre-Mendès France
  • Un quartier mixte avec plus de 130 000 m² de bureaux
  • Un campus de 30 000 m² dont Montpellier Business School (5 000 étudiants) et la Chambre du Commerce et de l’Industrie
  • le bâtiment de la French Tech avec hôtel d’entreprises sur 8000 m² dédié aux start-up
  • l’école du Numérique (5000 m²)
  • la Halle Nova de 227 mètres le long sur 27 000 m² : commerces, crèche, bureaux, restaurants, salle de sport
  • diverses entreprises de toute taille dont le siège du Crédit Agricole sur 25000 m²
  • 2 500 logements
  • Le parc de la Mogère de 30 hectares, véritable poumon vert, de repos et d’activités sportives.
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La seconde phase de 18 hectares accueillera :

  • Le palais des sports
  • Plus de 1200 logements
  • 80 000 m² dédié au secteur tertiaire.
traitement atrazine eau soleil

Traiter les pesticides par le soleil

Une équipe de chercheurs québécois vient de mettre au point un procédé écologique pour dégrader l’atrazine dans l’eau. Classé comme étant le pesticide « le plus à risque » par le ministère de l’Environnement, ce produit chimique est omniprésent dans les rivières agricoles du Québec. On le retrouve aussi dans l’eau potable de millions de personnes au pays.
En savoir plus : https://www.lapresse.ca/actualites/sciences/202002/23/01-5262118-pesticides-decontaminer-leau-a-laide-du-soleil.php

protection eau environnement écologie

Pollution des cours d’eau

Qu’est-ce qui pollue les cours d’eau français ?

Ces dernières décennies, les exigences en matière de qualité de l’eau potable se sont largement renforcées.

En France, les contrôles s’efforcent par exemple à rechercher un nombre croissant de molécules dans les cours d’eau, en privilégiant évidemment les substances les plus dangereuses pour la santé humaine et l’environnement.

Or on retrouve dans les rivières ce qu’on y a rejeté sur le bassin versant et l’homme a considérablement bouleversé le cycle des éléments naturellement présents dans les cours d’eau (comme les nitrates, les phosphates ou la matière organique). Les éléments issus de l’industrie chimique sont également à prendre en compte – soit potentiellement plus de 100 000 substances issues des activités humaines. On y trouve majoritairement des pesticides, mais également des hydrocarbures, des plastifiants, des médicaments et bien d’autres composés aux potentiels effets de perturbateurs endocriniens, susceptibles d’être neurotoxiques, cancérogènes, ou encore d’altérer la fertilité et le génome.

Ces résidus prennent en général la forme de micropolluants, c’est-à-dire de substances toxiques à des doses très faibles (de l’ordre du microgramme par litre, soit l’équivalent de deux pincées de sel dans une piscine olympique). Ils ne sont malheureusement pas tous recherchés et leurs effets sur le long terme en présence d’un cocktail d’autres molécules sont peu, voire pas du tout, connues.

Pesticides en tête

Dans les cours d’eau français, les pesticides et leurs produits de dégradations sont les premières substances détectées. Peu étonnant dans un pays où la surface agricole utile représente 29 millions d’hectares, soit plus de la moitié du territoire.

Leur concentration varie en fonction de la période à laquelle les produits phytosanitaires sont appliqués (généralement au printemps). Elle dépend également des cultures présentes sur le bassin versant : la vigne, les vergers, ou encore les céréales nécessitent par exemple de nombreux traitements. Les herbicides sont surtout détectés en rivière car ils ont des propriétés qui les rendent plus sensibles au ruissellement. Ainsi, le glyphosate et son produit de dégradation l’AMPA sont les molécules les plus souvent détectées, car très largement utilisés avant la mise en culture.

Mais cette présence dépend également de la persistance des pesticides : la présence d’atrazine (herbicide pourtant interdit depuis 2003) et de son produit de dégradation, la dééthylatrazine, s’explique par un transfert assez lent vers les cours d’eau. S’ils se répandent plus rapidement en période de pluie, une grande partie des pesticides migre de façon diffuse vers les eaux souterraines, pour être restitués plusieurs années plus tard dans les eaux de surface.

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Maintenance et contrat d’entretien des chaufferies

Désemboueur ABC PROTECT chauffferie 2800 kW, assistance Christian MICHEL ingénierie des fluides, calcul, pertes de charges, dimensionnement

La Maintenance des installations thermiques

La maintenance est une opération essentielle opérée par un professionnel qualifié pour garantir le bon fonctionnement de l’installation de  chauffage ou/et d’eau glacée.

Elle peut s’appliquer à tout ou partie de l’installation suivant le type de contrat engagé (voir ci-après).

Pourquoi établir un contrat de maintenance ?

Le rôle premier est l’entretien régulier des équipements thermiques et hydrauliques :

  • La production: chaudière et brûleur, groupe froid, pompe à chaleur, échangeur, aérocondenseur, ballon ECS …
  • L’énergie : arrivée gaz, arrêt coupe-poing, citerne et ligne fuel, silo et distribution bois,
  • La sécurité: soupape de sécurité/décharge, vase d’expansion, antivibratiles, ventilation haute et basse des locaux techniques, gaine pompier, conduit de fumée, puisards de chaufferie …
  • Les équipements de contrôle: manomètres, thermomètres …
  • La régulation: régulateurs, sondes de pression et de température, câblage.
  • L’installation électrique : tableau électrique, disjoncteurs/protection, contacteurs, relais, schémas de câblage, mise à la terre, liaisons équipotentielles …
  • La distribution hydraulique: pompes, filtres, désemboueur, conduites, vannes, soupapes de réglage, dégazeurs, purgeurs, calorifuge, peinture antirouille, étiquetage/repérage …
  • L’émission: corps de chauffe/radiateurs, planchers chauffant/rafraichissant, CTA, ventilo-convecteurs…
  • Le traitement d’eau : analyse annuelle, complément/adjonction de produit de conditionnement, entretien désemboueur...

 

Maintenance préventive et maintenance curative

La maintenance préventive comprend et inclut :

  • la surveillance et la conduite,
  • l’entretien.

La surveillance et la conduite consistent :

  • à vérifier le bon fonctionnement des installations techniques,
  • à arrêter ou à mettre en route les équipements saisonniers, et à maîtriser les paramètres de fonctionnement, afin de valoriser et permettre :
  • les meilleures performances énergétiques,
  • les consommations optimales,
  • la pérennité des équipements,
  • le meilleur niveau de confort pour les occupants.

L’entretien consiste :

  • à effectuer les opérations de maintenance sur l’ensemble des équipements des installations techniques.
  • La continuité de service des équipements existants confiés
  • La qualité des prestations en termes de confort pour les personnes (bureaux et labos)
  • La sécurité des personnes
  • Le maintien de l’état des performances des ouvrages
  • La maîtrise des consommations
  • La recherche de réalisation d’économies d’énergie
  • La pérennité des matériels
  • Le suivi des garanties constructeurs
  • Le rôle de conseil auprès du Maître d’Ouvrage sur l’évolution de la réglementation et l’état des matériels en fin de vie ou nécessitant une remise à niveau technique

 

 

La maintenance curative :

La maintenance corrective comprend et inclut :

  • le dépannage,
  • la réparation.

Le dépannage consiste :

  • à prendre les mesures provisoires qui permettent d’assurer la continuité de fonctionnement, y compris le diagnostic des ouvrages,
  • à prendre, en cas de nécessité, les mesures de sauvegarde des installations.

La réparation consiste :

  • à effectuer la remise en état des installations suite à une défaillance (ou panne),
  • à assurer l’entretien curatif et le remplacement du matériel défectueux.

La remise en état du matériel dont l’exploitant à la charge, est effectuée pendant toute la durée du marché ; les interventions sur site sont poursuivies sans interruption jusqu’à la résolution des pannes et défaillances, et ce quel que soit le jour de l’année. 

Le titulaire du marché de maintenance doit normalement assurer auprès du maître d’ouvrage :

  • un rôle de conseil 
  • un rôle de prévention

vis à vis des installations dont il a la charge, afin :

  • de diagnostiquer en amont les défaillances techniques,
  • de proposer toute amélioration technique permettant de diminuer la facture énergétique et de pérenniser le matériel existant,
  • d’avertir le maître d’ouvrage sur l’évolution de la réglementation,
  • d’avertir le maître d’ouvrage sur tout risque d’ordre sanitaire pouvant se produire (légionelloses, rejet polluant, …),
  • de conseiller le maître d’ouvrage sur tout problème ou questionnement d’ordre technique.

 

 

 

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Quels sont les principaux types de contrats ?

On distingue différents types de contrats :

  • Le contrat de type P1 :  concerne la prise en charge de la fourniture ou de la gestion de l’énergie (gaz, fuel, bois, électricité) par l’exploitant.
  • Le contrat de type P2 : le plus courant qui consiste juste en un contrat de conduite de chauffe et d’entretien de matériel. Tous les contrats de maintenance comportent à minima un contrat P2.
  • Le contrat de type P3 : sorte d’assurance « tout risque » ce contrat inclue le renouvellement du matériel en cas de pannes ou de défaillance technique avérée. Pour assurer le renouvellement du matériel une provision financière annuelle est versé à la société de maintenance (l’exploitant) pour assurer le remplacement à neuf  des grosses réparations ou/et de remplacement de matériel. Le contrat P3 est toujours accompagné d’un contrat P2
  • Le contrat de type P4 : ce contrat inclut une clause d’intéressement (bonus ou malus selon les objectifs à atteindre en matière d’économie d’énergie) dans le but d’amener l’exploitant à gérer au mieux l’énergie.

Tous les contrats peuvent s’ajouter :

  • Le contrat de type P1 + P2 : appelé contrat de fourniture et d’entretien P1 + P2.
  • Le contrat de type P1 + P2 + P3 :
  • le contrat P1 + P2 + P3 + P4
embouage chaufferie 850 kW ingénio

Les prestations à réaliser

Le contrat de maintenance doit absolument comprendre l’énoncé de tous les équipements à entretenir avec la périodicité des tâches.

Voici un exemple concret que notre bureau d’études à réaliser sur un site industriel :

MATERIEL PRIS EN CHARGE

 

 

Nbre

 

LOCALISATION

Garantie demandée

 

DELAI D’INTERVENTION

DELAI

REPARAT

MATERIEL

Type

 

Situation

P2

P3

H

½ J

J

S

 

 

Chaudières

VIESSMANN 500 kW + brûleur

2

Chaufferie

X

X

 

X

 

 

A

24

Pompes

WILO simple

2

Chaufferie

X

X

 

X

 

 

A

24

Régulation 

HONEYWELL

1

Chaufferie

X

 

 

X

 

 

A

24

Robinetterie + accessoires

Vannes, soupapes, Filtres, expansion

ens

Chaufferie

X

 

 

 

 

 

A

 

Echangeur

VITHERM +  pompes

1 ens

Chaufferie

X

 

 

X

 

 

A

 

Ballon ECS

LACAZE TOP 750 litres

1

Chaufferie

X

 

 

 

X

 

A

 

Disconnecteur

 

1

Chaufferie

X

 

 

 

 

 

A

 

Groupe Froid

Type CIAT 170 kW froid

4

Terrasse

X

X

 

X

 

 

A

24

Pompe froid

SALMSON

1

Extérieur

X

x

 

X

 

 

A

24

CTA

CIAT  1.700 m3/h

6

Terrasse

X

 

 

X

 

 

A

24

Ventilo-convecteur

VCN + VCA

224

Locaux rez,N1,N2

X

 

 

 

X

 

A

24

 

Textes réglementaires

Chaufferies

  • gaz de moins de 70kW : Arrêté du 2 août 1977 ; concerne les toutes petites chaufferies au gaz ;
  • tous combustibles de plus de 70 kW : Arrêté du 23 juin 1978 ; concerne la grande majorité des chaufferies en copropriété; une lettre ministérielle précise que, lorsqu’elles conduisent à des « transformations immobilières importantes » les dispositions de l’arrêté ne sont pas applicables ;
  • tous combustibles de plus de 2MW : Arrêté du 25 juillet 1997, ajoute des dispositions supplémentaires à l’Arrêté du 23 juin 1978, essentiellement concernant la sécurité.

 

Entretien des chaufferies

Le code l’environnement, fixe des contraintes différentes selon la puissance des installations.

Chaufferies de puissance comprise entre 4 et 400 kW :

  • Articles R224 41 1 4 à 8 relatifs à l’entretien annuel des chaudières

 Chaufferies de puissance supérieure à 400 kW, application du Code de l’environnement:

  • articles R224-21 a 30 relatif aux rendements minimaux et équipements :
  • articles R224-31 à 41relatif au contrôle périodique de l’efficacité énergétique des chaudières :
  • articles R224 41 1 à 3 relatif au contrôle des émissions polluantes :

 

 

Contrat d’entretien des chaufferies

Article L241-1 (Ordonnance n°2011-504 du 9 mai 2011 - art. V) du Code de l’Energie :

« La mise en œuvre des installations de chauffage et de climatisation par tous exploitants ou utilisateurs doit être assurée de façon à limiter la température de chauffage et de climatisation des locaux et la température de chauffage de l'eau sanitaire et de l'eau des piscines à des valeurs fixées par voie réglementaire. »

 Règlement sanitaire départemental (RSD)

Le RSD – disponible auprès de chaque préfecture- contient des dispositions relatives à  :l’ entretien des chaudières, le ramonage des conduits de fumées, les disconnecteurs d’eau ..

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